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domingo, 27 de abril de 2025

Chap. 12 - La Foi avec les Oeuvres

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Dans la Place...
— Je désarme. — Monsieur Nestor désarme la bombe. — Prêt!
— Demain, je commencerai une neuvaine pour Notre-Dame de l'Apocalypse. Non! Je vais commencer aujourd'hui ! Je vais demander à Rosine de poster. Excusez-moi!
— Je vais chercher la police.
— Je vais à la gym.

Quelques instants plus tard
À la Gym...
— Bon après-midi!
— Bon après-midi! Prof!
— François, tu es arrivé une demi-heure en avance.
— Je veux lire.
— Quel livre es-tu en train de lire?
— Lettre de Jacques.
— J'ai lu Genesis et j'ai arrêté. Vous êtes déjà à Jacques.
— J'ai commencé avec Jacques.
— Dis-moi un peu.
— J'ai lu le chapitre 2. Il nous parle de la foi. Que nous devrions traiter tout le monde de la même manière sans porter de jugement. Car celui qui juge et juge avec miséricorde, c'est Dieu. Et que notre foi sans les œuvres est sans valeur. Car la vraie foi a des œuvres. Ne dois-je pas construire une église? —  Judas rit.
—  Non! Vous devez mettre en pratique ce que vous avez appris en lisant Jacques. Ces œuvres sont des œuvres de charité. Comme Monsieur Elias qui travaille avec des toxicomanes. Madame Nana qui s'occupe de l'orphelinat. Prêtre Michel qui donne des paniers de nourriture. Docteur Rafael qui donne des médicaments.
— J'ai compris. Je devrais aider l'un d'entre eux.
— Ouais! Ou faites quelque chose de similaire dans votre réalité.
— Comme ça?
— Vous pouvez aider le prêtre à organiser la nourriture ou jouer avec les enfants de l'orphelinat. Vous n'aiderez pas avec de l'argent comme je le fais.
— Ah ! Comprendre. Après la neuvaine, je vais parler au prêtre.
— Bon après-midi!
— Bon après-midi, Joseph ! Commençons le cours ?
— Ouais!

La nuit
Devant l'église chrétienne Sentralian...
—  Qui a mis cette superstition ici? — Le pasteur regarde autour de lui et ne voit personne. Il y met le feu et se met à prier.
— Pasteur, est-il devenu fou ?
— Je ne l'étais pas ! C'est ainsi que vous éliminez ce qui ne vient pas de Dieu.
— Quoi qu'il en soit, je vais chercher un seau d'eau. — Marc entre dans l'église.

Dans l'église Notre-Dame de l'Apocalypse...
— Bonsoir! Frères, aujourd'hui j'ai décidé de commencer une neuvaine à notre patronne. Je remercie ceux qui ont pu répondre à notre demande urgente.
Nous nous réunissons à… — L'autre lustre est tombé du fond de l'église. — Désolé mes frères, les rats ont rongé les fils. Ils ont été retirés aujourd'hui.
— Prêtre!
— Ouais!
— Ne vaudrait-il pas mieux que nous priions dans la chapelle ?
— Vous avez raison! Allons à notre chapelle du Saint-Sacrement. — La chapelle du Saint-Sacrement était à droite de l'autel. Le prêtre et les fidèles se rendent à la chapelle et le prêtre recommence. — Bonsoir! Frères, aujourd'hui nous allons commencer la neuvaine de notre patronne...
Dans le Place...
François arrive en courant car il était en retard.
— Monsieur Nestor?!
— Je ne peux pas résister. Il désigne la bouteille.
— Je vais appeler le pasteur. — François court et quand il s'approche, il voit le feu.

Devant l'église chrétienne Sentralian...
— Feu?!!!
— Calme! C'est sous contrôle.
— Pasteur, pouvez-vous aider Monsieur Nestor? Il est allongé ivre sur la place.
— Sûr! Marc, peux-tu aller avec François et l'aider?
— Ouais! Nous allons! — Marc quitte le seau et va avec François sur la place. Les deux amènent Monsieur Nestor et l'emmènent à l'intérieur de l'église.
— François! Maintenant, je vais lui donner un bain. Commandez à votre mère un café sans sucre.
— Oui! — François s'en va et au bout d'une quinzaine de minutes il revient avec la bouteille de café. — Je n'ai jamais vu Monsieur Nestor prendre un bain. — Marc verse le café dans une tasse.
— Bois-le! — Monsieur Nestor boit.
— Je suis faible. Je ne peux pas résister.
— Monsieur Nestor, vous voulez rester à la clinique de l'Église. C'est à Meridiana.
— Je n'ai pas d'argent à payer.
— Nous avons des postes vacants pour ceux qui n'ont pas d'argent. Si tu veux, je t'inscris. Dès que le pasteur Emanuel m'y autorise, je vous emmène.
— Acceptez Monsieur!
— François, tu as passé une matinée avec moi et tu es déjà devenu mon ami.
— C'était le matin le plus chargé que j'aie jamais connu.
— Il va bien. Je fais. Merci beaucoup, Marc.
— Je prierai pour qu'ils te laissent partir bientôt.
— Moi aussi. — Le pasteur Elias entre avec une assiette de nourriture.
— Monsieur Nestor, ce n'est pas grand-chose, mais c'est ce que je peux vous donner.
— Merci. Qui a des amis a le paradis!

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